21 mars 2006
20 mars 2006
Un, deux, trois, crépuscule
«Un, deux, trois, crépuscule»
L’aube, une jeune femme et la fin du jour dans une biographie instable en trois temps.
À mi-chemin entre l’abstraction et la figuratif, entre le narratif et l’expérimentation, «Un, deux, trois, crépuscule» se veut une exploration de certains aspects des relations entre l’individu et le groupe.
Une biographie en trois parties, dans lesquelles se relaient diverses situations vécues par une jeune femme et ses proches. Instable car, de la naissance à la mort, le monde extérieur ne se révèle pas toujours de façon explicite. La complexité de nos environnements humains et physiques, changeants de l’aube jusqu’à la fin du jour, teinte l’évolution du récit et celle, également, de la forme visuelle.
Sans être strictement expérimentale, la volonté qui a guidé la réalisation de ce film en est une de questionnement. Offrir quelques pistes de réponses, articuler certains problèmes, laisser l’expressivité propre à certaines scènes ouvrir d’elle-même le débat.
De pair avec l’utilisation de différentes techniques, peinture, dessin, estampe, collage, et de diverses formes de trucages cinématographiques, s’articule une narration construite à l’aide d’associations d’idées. Ou de relations entre celles-ci se développant tout au long du film.
C’est parfois également (peut-être surtout ?) l’expression d’un plaisir visuel, d’un sentiment amoureux, de l’instabilité de certaines formes, de l’attirance physique ou de l’aspect violent inhérent au rapport entre chacun de nous et le monde qui nous entoure.
Ouverture
Image tirée de «Un, deux, trois, crépuscule».
Court-métrage d'animation.
35mm, couleur, 16 minutes, sans dialogue © 2006
Distribution: Les Films du 3 Mars
Image tirée de «Encre noire sur fond d'azur».
Court-métrage d'animation.
35 mm, couleur, 6 minutes, sans dialogue ©2003
Distribution: Les Films du 3 Mars